L'Auriez-vous une bafouille à dire osti de caliss ?

Blizzard a écrit:

Le message, c'est un bon gros pouce levé, tout simplement. Un pouce levé comme si le mec disait "ce produit est cooool… Achetez-le".

Je me suis demandé si c'était pas qu'il rêvait avoir une manette dans les mains sinon (pouce sur le joystick).

AristA a écrit:

Daragonis a écrit:

Mec, t'as pas idée de ce que je suis capable de faire en même temps que m'endormir.

<-------- littéralement mon visage en voyant ce message

personne ne veut savoir je pense

Moi si.

Zim a écrit:

Je... compte vendre la mienne.

Ahah! Quel hasard. Bah tu l'as pas aimé à ce point? Tu attends même pas de voir plus du nouveau Zelda? (Bien que je comprend il me fait peur)

Alex RoiEsper a écrit:

AristA a écrit:

personne ne veut savoir je pense

Moi si.

@Alex RoiEsper : Zyva, Lexa Perroies il est trop chelou!

@Zim : Ce "Ok" en dit long sur tes intentions... Comment l'homme a t-il s'abaisser à ce point, à renier jusqu'à la vie pour de futiles plaisirs personnels?...

@AristA : C'est pas la tête que t'as en regardant tous mes messages? Et de quel droit parles tu au nom du peuple d'Hertepay!!! Alex se veut suffisamment habile pour contrer tes terribles desseins de domination, encore une fois tu échoues... *Cherche un nom de méchant random*... Nougatine!

Donc en exclusivité mondiale, voici ce que je fait quand je m'endors :

Spoiler:

j'ai ouvert tous les spoilers

Ben oui c'est ce qu'il faut faire, mais quel dommage! Il manque encore des spoilers et les autres refusent de s'ouvrir! Tant pis, ça restera secret du coup...

J'hésite entre deux films majeurs pour continuer (et terminer ?) ma soirée cinéma : le très optimiste La Vie est belle (de Frank Capra) et le très pessimiste Harakiri (de Masaki Kobayashi). Je pars sur lequel ?

Harakiri, rien que pour le titre
PS : Tu ne prévois pas de te coucher à 2h15 quand même?...

Ok. Donc c'est décidé, j'pars sur La Vie est belle.
(Sinon, pour Harakiri, c'est un très très très grand film que je vous conseille à tous, ne serait-ce déjà que parce que c'est l'un des très rares films de samouraï à avoir les couilles de remettre en cause le bushidô, chose impensable au Japon.)

EDIT : Réponse au PS. Non, je prévois la nuit blanche aujourd'hui. J'ai un journal extime fictif (ou pas, à moi de voir) à commencer, à écrire et à envoyer demain (enfin aujourd'hui) à mon prof' de LI01 (la matière qui m'a fait écrire les deux seules nouvelles que j'ai postées, à l'heure actuelle, dans ce topic). Alors forcément, j'me fais une nuit cinéma avant. C'est plus drôle, comme ça.

AristA a écrit:

j'ai ouvert tous les spoilers

Moi aussi, c'était trop fun !!!

Blizzard a écrit:

Ok. Donc c'est décidé, j'pars sur La Vie est belle.
(Sinon, pour Harakiri, c'est un très très très grand film que je vous conseille à tous, ne serait-ce déjà que parce que c'est l'un des très rares films de samouraï à avoir les couilles de remettre en cause le bushidô, chose impensable au Japon.)

EDIT : Réponse au PS. Non, je prévois la nuit blanche aujourd'hui. J'ai un journal extime fictif (ou pas, à moi de voir) à commencer, à écrire et à envoyer demain (enfin aujourd'hui) à mon prof' de LI01 (la matière qui m'a fait écrire les deux seules nouvelles que j'ai postées, à l'heure actuelle, dans ce topic). Alors forcément, j'me fais une nuit cinéma avant. C'est plus drôle, comme ça.

Et bien bravo ! On la voit la France parasite là ! Et demain tu vas au Pôle-Emploi demander ton RSA ? Ridicule ! Tu devrais avoir honte de toi ! Je mets beaucoup trop de points d'exclamation !

C'est bientôt ton anniversaiiire !!!

Moi aussi j'ai ouvert tous les spoilers ... j'ai d'ailleurs pu être surpris que les positions successives des spoilers formaient un courbe d'équation y=a.x^4 + b.x^3 +c.x² +d.x +e avec bien sûr a<0.

C'est marrant tiens ....

c'est exactement ce que je me disais

Alex : oui

AristA a écrit:

Et bien bravo ! On la voit la France parasite là ! Et demain tu vas au Pôle-Emploi demander ton RSA ? Ridicule ! Tu devrais avoir honte de toi ! Je mets beaucoup trop de points d'exclamation !

Si j'ai bien compris les limites du journal extime (ni notre prof', ni Internet n'est très clair là-dessus…), je peux parler de ces films à l'intérieur du journal, comme un billet pour un "blog" (j'aime pas ce terme) dans un style "journalistique/réflexion". Si jamais Zim a idée de ce qu'un journal extime recouvre et qu'il veuille bien me le faire partager, ça m'arrangerait bien. Sachant que notre prof' ne veut pas qu'on aille dans le fantastique ou la science-fiction (dommage, j'avais une idée qui collait parfaitement à ça…). De toute façon, c'est soit ça, soit un journal intime (pareil : on peut le faire fictif ou réel) ; et j'ai éliminé d'office cette possibilité…

cheikh35 a écrit:

Moi aussi j'ai ouvert tous les spoilers ... j'ai d'ailleurs pu être surpris que les positions successives des spoilers formaient un courbe d'équation y=a.x^4 + b.x^3 +c.x² +d.x +e avec bien sûr a<0.

C'est marrant tiens ....

Ouais, c'est trop joli les spoilers en chaîne!
Cependant je ne comprends guère votre théorie d'un trinôme du quatrième degré, il semble qu'il s'agisse plûtot d'un trinôme du troisième degré, on ne voit ici qu'un seul changement de variation dans la fonction. *Sort avec son second degré en carton*

@Blizzard : "En opposition au journal intime, un journal extime sonde l'intimité non pas de l'auteur, mais du territoire qui lui est extérieur."
Ah oui bien bizarre les définitions^^ Bon de toute façon je suis très loin de pouvoir mieux comprendre que toi ce genre de ...
Bon, sait-on jamais, j'ai trouvé deux petits "blogs" qui se revendiquent être des Journaux Extimes, vois toi-même si tu penses que c'est le cas...

Spoiler:

J'ai déjà regardé pas mal de "journaux extimes Internet", et je suis d'ailleurs tombé sur le premier des deux que tu as postés. ^^
En bref, je vais faire comme je le sens et comme j'ai l'impression de l'avoir compris. Un truc qui parle de notre environnement ou d'un fait particulier et qui en vient à une réflexion plus générale et globale à chaque fois. C'est ce qui me semble le plus cohérent et pertinent à faire.

Journal extime ? Première fois que je rencontre ce mot.

Étymologiquement, un journal intime c'est un journal "qui relève du dedans" :
- qui parle de soi (du moi de l'écrivain, de ce qui n'est pas extérieur à moi, ou de ce qui est extérieur à moi en tant que ça a une influence sur moi).
- qui ne parle qu'à soi (écrivain et lecteur se confondent, sauf pour ceux qui considère que le journal lui-même est lecteur de ce qu'on y écrit, mais euh voilà).

Donc un journal extime, qui "relève du dehors" :
- parle de tout sauf de soi (ou de moi en tant que ça a une influence sur ce qui n'est pas moi)
- qui s'adresse aux autres que moi

Dans quel(s) sens "extime" est à comprendre ?
- journal qui parle de soi à tout le monde
- journal qui parle de ce qui n'est pas moi, mais dont je suis seul lecteur
- journal qui ne parle pas de moi et qui s'adresse à tout le monde

Sachant que je n'ai pas défini non plus "journal" :
- qui s'écrit chaque jour
- qui parle de ce qui s'est passé chaque jour

Les définitions complètes seraient donc :

- journal qui parle de soi à tout le monde et qui s'écrit chaque jour sans parler de ce qui s'est passé chaque jour
- journal qui parle de soi à tout le monde et qui s'écrit pas forcément chaque jour mais qui parle de ce qui s'est passé chaque jour
- journal qui parle de soi à tout le monde et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour

- journal qui parle de ce qui n'est pas moi, mais dont je suis seul lecteur et qui s'écrit chaque jour sans parler de ce qui s'est passé chaque jour
- journal qui parle de ce qui n'est pas moi, mais dont je suis seul lecteur et qui s'écrit pas forcément chaque jour mais qui parle de ce qui s'est passé chaque jour
- journal qui parle de ce qui n'est pas moi, mais dont je suis seul lecteur et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour

- journal qui ne parle pas de moi et qui s'adresse à tout le monde et qui s'écrit chaque jour sans parler de ce qui s'est passé chaque jour
- journal qui ne parle pas de moi et qui s'adresse à tout le monde et qui s'écrit pas forcément chaque jour mais qui parle de ce qui s'est passé chaque jour
- journal qui ne parle pas de moi et qui s'adresse à tout le monde et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour

Autant dire que ça peut être tout et son contraire si on s'en tient à l'analyse des mots.

[/intervention inutile du jour]

Zim a écrit:

- journal qui parle de soi à tout le monde

J'aurais dit ça, pour ma part.

Zim a écrit:

- journal qui parle de ce qui n'est pas moi, mais dont je suis seul lecteur et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour

Ce serait vachement utile, ça !

D'après ce que j'ai compris, et cette définition qui donne déjà un peu plus d'indications :

Wikipédia a écrit:

Dans la courte préface à son Journal extime, Michel Tournier établit une nette distinction entre l'intimité et l'extimité du genre diaristique.

Selon lui, si le journal intime représente « un repliement pleurnichard sur ″nos petits tas de misérables secrets″ », rejoignant ainsi un espace centré sur l'aveu et la confession, le journal extime est un « mouvement centrifuge de découverte et de conquêtes » qui donnerait naissance à une « écriture du dehors » poussant l'auteur à se laisser saisir par le monde alentour, puis à la retranscrire.

De fait, dans son Journal extime, Michel Tournier propose au lecteur une suite de courts paragraphes rédigés de manière journalière mais principalement composés d'événements extérieurs à sa personne : évolution de son jardin et du climat, personnalités croisées, entretien de sa maison, voyages effectués... L'écriture diaristique y est vécue comme une ouverture vers l'extérieur.

Je suis parti sur la définition :

Zim a écrit:

journal qui ne parle pas de moi et qui s'adresse à tout le monde et qui s'écrit chaque jour sans parler de ce qui s'est passé chaque jour"

En gros, je parle d'un peu tout et de rien, du moment que ça concerne mon environnement, ce qui fait partie de ma vie mais qui est extérieur à moi. Pour l'instant, j'ai abordé la place de la télévision, la pluie, le surplus d'informations et ses fâcheuses conséquences sur le traitement de l'information… Et comme d'habitude, j'enrobe le tout d'une p'tite dose d'intellectualisation et de branlette intellectuelle. (Ba oui, quoi…) Ce qui n'est d'ailleurs p'têt pas la meilleure chose à faire, mais tant pis. À croire que j'ai du mal à écrire autrement…
M'enfin, sérieusement… C'est quoi cet exercice de style à la con, là, quoi ?!…

D'après la définition de Tournier, ce serait
ou
- journal qui parle de ce qui n'est pas moi, mais dont je suis seul lecteur et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour
ou
- journal qui ne parle pas de moi et qui s'adresse à tout le monde et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour

Wikipédia n'évoque pas la question du destinataire, et j'ignore si Tournier a écrit le sien en vue ou non d'une publication. A priori, les deux sont possibles :
- journal qui ne parle pas de moi et qui ne s'adresse qu'à moi ou s'adresse à tout le monde et qui s'écrit chaque jour et parle de ce qui s'est passé chaque jour

En fait, je crois que je comprends mal ce que tu entends par "sans parler de ce qui s'est passé chaque jour". Est-ce que tu voulais dire "parler de tout et de rien, d'un sujet pas forcément en rapport avec notre actualité" ?

J'ai pris cette définition parce celle du "parle de ce qui s'est passé chaque jour" me semblait trop "rigoureuse". Dans ce que j'ai fait, je parle d'une actualité jour à jour semi-fictive (puisque j'écris tout le dernier jour), semi-réel (je pense vraiment ce que j'écris et les évènements que je décris se sont vraiment déroulés ainsi). En bref, d'un sujet dont mon actualité, voire l'actualité de mon environnement, se rapporte bien. Par exemple, on a eu une très forte pluie récemment, qui a mené à ça. J'ai donc parlé de la pluie. Je venais de terminer une série qui passait régulièrement à la télévision, récemment ; ça m'a amené à réfléchir davantage sur le rôle de la télévision, dans mon journal extime.

Je procède souvent comme ça, en fait : un évènement ou un fait se déroule dans mon environnement et me concerne assez directement (mais ça reste mon environnement) -> je réfléchis plus globalement à partir de cet évènement ou de ce fait. Du coup, je parle de l'extérieur tout en détaillant un peu. En faisant un peu de psycho à deux balles, ça donne : mon environnement m'aide à mieux connaître le monde, ce qui m'aide à mieux me connaître, d'où le "Dès lors, à travers ses récits du quotidien, l'auteur mesure à quel point le monde le pénètre." de Wikipédia.

Citation :

En fait, je crois que je comprends mal ce que tu entends par "sans parler de ce qui s'est passé chaque jour". Est-ce que tu voulais dire "parler de tout et de rien, d'un sujet pas forcément en rapport avec notre actualité" ?

C'est-à-dire parler de trucs sans les lier à l'actualité, oui.
Parler de ce qui c'est passé chaque jour, j'entends par là parler de l'actualité, mais aussi la mettre en perspective par rapport à des choses soit hors du temps (philosophique) soit d'un temps passé ou à venir (historique).

Tant que tu essaies de transcrire au plus juste ta perception du réel, ce n'est pas grave si ta vision est "subjective" (elle n'en est pas moins vraie si ça a été vraiment la tienne), et on ne tient pas non plus rigueur d'erreurs dues au caprice de la mémoire.

Ah ok. Ba dans ce cas-là, je colle parfaitement à ta vision de la chose, puisque je pars en effet souvent sur des sujets un peu philosophiques, tout en raccrochant l'actualité à des faits passés. Je fais souvent un peu les deux, en fait. Enfin, même pas des sujets vraiment philosophiques, mais plutôt des réflexions en profondeur du sujet abordé. Par exemple, sur le traitement de l'information, c'est une sorte de coup de gueule avec un peu de réflexion derrière. Mon coup de gueule, ici, se rattache -comme souvent dans le cas des coups de gueule- à l'actualité. Et je parle aussi de faits passés dans ce coup de gueule. À croire que je n'arrive pas à m'empêcher de faire des références historiques partout (bien que le passé soit ici assez proche, mais bon…).

EDIT : Pour répondre à la fin de ton message… J'ai une bonne mémoire, donc ça va du côté des caprices de la mémoire, ça m'arrive rarement que j'en ai et que je déforme la réalité (ma mémoire est mon fardeau, comme je le dis souvent, mais bon passons). Et pour le fait que ce soit arrivé vraiment ou non, ou que je le ressente vraiment ou non… Comme je l'ai dit, notre journal extime peut être fictif. Notre professeur nous laisse cette possibilité. Donc pas obligé que ça se soit vraiment passé, même si mon journal extime s'oriente plutôt carrément vers des faits réels et qui se sont vraiment passés.

PS : Il est bien mon avatar Playskool, hein ?! :p

Blizzard a écrit:

Et comme d'habitude, j'enrobe le tout d'une p'tite dose d'intellectualisation et de branlette intellectuelle. (Ba oui, quoi…) Ce qui n'est d'ailleurs p'têt pas la meilleure chose à faire, mais tant pis. À croire que j'ai du mal à écrire autrement…

Effectivement.

Faudrait que tu apprennes à le faire d'une manière plus subtile, comme Zim M. Kim.

Après, ça dépend aussi comment j'écris à telle ou telle autre période. Dans le dossier que j'ai fait et où je parle des rapports entre cinéma et jeu vidéo, je balance des références à la pelle mais j'ai l'impression que ça passe carrément mieux qu'un simple listing. Disons que j'y ai réussi à parler du sujet, avec de la consistance, mais sans être indigeste. Faudrait que ça m'arrive plus souvent, ça, tiens… Ça me permettrait de troquer mon statut "mec chiant" contre –on peut tout espérer, hein ?– "mec intéressant" si j'y arrivais…